J'ai participé à cette course dans le cadre d'une participation de mon Entreprise nous étions 25 inscrits. Ce qui a emballé tout le monde c'est de finir sur la piste du Stade de France ....
Inscriptions :
Les Inscriptions se sont bien déroulés avec un support au top, Merci à Loic.
Retrait des dossards :
Là cela se complique légèrement, je reste mitigé. Il y a bien une file entreprise, mais les retraits individuels de ceux inscrits en Entreprise sont possibles, il y a donc une queue assez imposante. Première fois que j'ai une queue aussi importante quand je retire les dossards de l'entreprise. La dotation : un tee shirt et une gourde !
La course :
Jour J : la course ! Les toilettes sont assez nombreuses mais comme d'habitude, on préfère être un homme pas d'attente à une femme pas loin de 20 minutes d'attente.
Les SAS sont suffisamment indiqués par contre pour le SAS 55 minutes qui doit partir en deux vagues pas de séparation, on y reviendra.
Le départ :
Je fais la course dans le SAS 55 minutes, en effet, je suis meneur d'allure pour un collègue pour qui l'obectif est de finir en deça de 60 minutes apreès une très longue interruption de CAP.
Première surprise : le SAS 55 minutes qui devait partir en deux vagues par en ne seule vague. Il est très difficile de trouver son rythme, il a beaucoup de monde et le virage à 100 mètres du départ n'arrange rien. Heusement, il y a des spectateurs pour nous encourager.
Mais il y a pire dans le kilomètre 2, on se retrouve à l'arrêt on marche pour passer un petit tunnel relativement étroit alors qu'en fait il y avait sur les quais la place pour nous laisser passer sans ce ralentissement. Marcher deux kilomètres après un départ, c'est du jamais vu pour beaucoup de coureurs qui sont dans la consternation.
On verra deux trois orchestre venus pour nous encourager et mettre l'ambiance :
Les trois premiers kilomètres son une calamité en terme de temps (6"12 - 6"22 - 7"01), les espace larges sont très souvent rétrécis et on perd le rythme avec l'engorgement.
On finit le troisième kilomètre on a déjà 400 mètres d'écart avec le mètrage de la course, c'est relativement important on verra si cela se règle par la suite.
Sur les kilomètres suivants on tente de regagner les précieuses secondes perdues pour tenir l'objectif et on tourne en 5"47, il ne faut pas aller trop vite au risque que mon collègue ne tienne pas la distance. On se rapproche le stade est maintenant bien visible.
Le long du canal, la sécurité est assuré pour ceux qui voudrait piquer une petite tête.
On commence à apercevoir le stade. On tient le bon bout. Toujours 400 mètre d'écart. L'objectif des 60" est vraiment incertain à cause des premiers kilomètres.
Dernier Kilomètre on rentre dans le tunnel du stade, magique on se prend pour un marathonien aux jeux de 2024, et là on carbure on se donne à fond.
On attend la lumière au bout du tunnel et là c'est un moment magique on est sur la piste du stade de France ! On savoure mais on accélère !! Le socre tombre 58"15 l'objectif est remplit même s'il y a au final que 9km66, avec 10 on tenait les 60". Mon pote est content et on s'avoure.
S'engage la deuxième bataille, approcher du ravito et la surprise il n'y a que de de l'eau.
La troisième bataille sera pour obtenir la médaille, j'ai jamais vu cà, elle ne sont pas préparées et en vrac, le pauvre bénévole se retrouve face à un sac de noeud et l'incompréhension des coureurs. Qu'importe la ficelle, il finira par donner des coups de ciseaux synonyme de délivrance.
On rencontre les collègues on profites de ce moment magique et on se sent privilégiés d'être sur cette piste.
Il est temps de rentrer et là surpirese on tombe sur le ravitaillement solide ! on en profite et on se sépare des étoiles dans les yeux !
Bilan : une course sympatique, une arrivée magique et une organisation à revoir. Merci à tous les bénévoles qui ont gardé le sourire malgré des coureurs parfois pas faciles.
une médaille à en bois et à planter
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